Histoire de l’art – Université Populaire d'Avignon https://upavignon.org Sat, 02 Feb 2019 12:50:02 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.2.2 Cours du 5 février 2019 https://upavignon.org/2019/02/02/cours-du-5-fevrier-2019/ Sat, 02 Feb 2019 11:22:51 +0000 http://upavignon.org/?p=2157 Lire la suite Lire la suite

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Attention : 

Le cours du mardi 5 février se déroulera dans l’amphithéâtre Blaise Pascal du Centre d’Enseignement et de Recherche en Informatique (CERI) sur le Campus Jean Henri Fabre. Voir plan d’accès ICI.

De 18h30 à 20h00 et de 20h15 à 21h30, retour attendu de l’histoire de l’art avec Laïla Commin-Allié  sur « Jeux Peints : Réflexions à partir de l’oeuvre de Pieter Bruegel"  Voir la présentation et la bibliographie ICI

Nous avons le plaisir de vous convier à la première réunion d’un nouvel atelier d’auditeurs le lundi 4 février 2019 à 16h à la Maison Jean Vilar. Voir la présentation de cet atelier ICI

Pas de cours durant les vacances scolaires. En attendant le retour de l’UPA, le 26 février, vous pouvez :

  • Lire les comptes-rendus des étudiants de l’UEO sur 3 cours ICI. Merci pour leur implication.
  • Lire le cours de Jacques Téphany sur « un roi sans divertissement" ICI .Grand merci à lui pour tout ce travail.
  • Voir des photos de la séance inaugurale de l’UP de Lorient par notre amie Suzanne Rubio ICI
  • Réfléchir à un thème pour l’année prochaine car dès la fin février nous commencerons à recueillir les propositions des auditeurs.
  • Noter la date du prochain atelier « Regards croisés" mardi 19 mars, 16h30 à la BU, le livre choisi est Le Paradoxe sur le Comédien de Denis Diderot (publié à titre posthume en 1830) – éditions des mille et une nuits, 111 pages, 2 euros.

 

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Cours du 27 mars 2018 https://upavignon.org/2018/03/24/cours-27-mars-2018/ Sat, 24 Mar 2018 09:10:50 +0000 http://upavignon.org/?p=1803 Lire la suite Lire la suite

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Mardi 27 mars de 18h30 à 20h00, dans l’amphithéâtre AT 03 du Site Hannah Arendt (Campus du Centre Ville), nous accueillons, pour sa deuxième intervention de l’année, Jacopo PASQUALI. Ce soir il évoquera “Le corps entre séduction et souvenir. Théories de l’amour et de la mort dans la pensée antique“. Voir la présentation son cours ICI

De 20h15 à 21h30  dans la salle Camille Claudel – Rez-de-chaussée de la Maison MANON – Place des Carmes, atelier de Qi-Gong animé par Sylvie BRISSON.

Ce même mardi à 16h30, salle du conseil de la bibliothèque universitaire, réunion de l’atelier « Regards croisés". Le livre commenté sera Le sentiment de soi, Histoire de la perception des corps (XVIe-XXe), suivi de La sensibilité contemporaine de Georges Vigarello, édition Points Seuil, 2014. Voir ICI

Vous pouvez, jusqu’au 27 mars, voter pour choisir le thème qui sera traité l’an prochain, soit sur papier lors du cours, soit par mail à l’adresse auditeur.100@laposte.net. Tous les détails sont ICI

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Présentation du cours de Jacopo Pasquali – Mars 2018 https://upavignon.org/2018/03/24/presentation-cours-de-jacopo-pasquali-mars-2018/ Sat, 24 Mar 2018 08:59:12 +0000 http://upavignon.org/?p=1821

Le corps entre séduction et souvenir. Théories de l’amour et de la mort dans la pensée antique.

Téléchargez la présentation du cours

Téléchargez le contenu de la leçon

Téléchargez les aides visuelles projetées en cours

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Cours du 20 mars 2018 https://upavignon.org/2018/03/17/cours-20-mars-2018/ Sat, 17 Mar 2018 14:52:56 +0000 http://upavignon.org/?p=1778 Lire la suite Lire la suite

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Jacky Barbe ne pouvant assurer son cours, c’est Laïla Commin-Allié (grand merci à elle !) qui le remplacera ce mardi 20 mars de 18h30 à 20h00, dans l’amphithéâtre AT 03 du Site Hannah Arendt (Campus du Centre Ville). Nous assisterons à la première partie de son cours  sur “Des corps et des ordres : réflexions autour de quelques représentations artistiques du corps humain“. Voir la présentation ICI.

De 20h15 à 21h30  dans la salle Camille Claudel – Rez-de-chaussée de la Maison MANON – Place des Carmes, Jean-Pierre Brouillaud, écrivain-voyageur, nous propose d’échanger « autour des perceptions différentes du monde entre voyants et non-voyants“.

 

Voir le nouveau calendrier modifié ICI

Vous pouvez, dès mardi, voter pour choisir le thème qui sera traité l’an prochain, soit sur papier lors du cours, soit par mail à l’adresse auditeur.100@laposte.net. Tous les détails sont ICI

Dans le cadre de notre partenariat avec la Chartreuse de Villeneuve, nous vous proposons de venir assister gratuitement à la soirée organisée le 11 avril à 18h. Voir ICI

 

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Présentation du cours de Laïla Commin-Allié -Mars 2018 https://upavignon.org/2018/03/17/presentation-cours-de-laila-commin-allie-mars-2018/ Sat, 17 Mar 2018 14:51:09 +0000 http://upavignon.org/?p=1799 DES CORPS ET DES ORDRES

Réflexions autour de quelques représentations artistiques du corps humain

Laila COMMIN-ALLIE – Des corps & des ordres

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Compte-rendu de la séance du 28/11/2017 Cours de Jacopo Pasquali https://upavignon.org/2017/12/16/compte-rendu-de-seance-28-11-2017-cours-de-jacopo-pasquali/ Sat, 16 Dec 2017 08:41:03 +0000 http://upavignon.org/?p=1620 Lire la suite Lire la suite

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Compte-rendu de la séance du 28/11/2017 à l’UPA

Réalisé par Cyrielle BICHOT-PAQUIEN, étudiante en Master d’Histoire à l’Université d’Avignon

 

Jacopo PASQUALI – « Quelques réflexions sur la représentation du corps humain entre Orient et Occident"

 

                  Lors de cette courte intervention d’une heure et demi, Jacopo Pasquali a tenté de nous montrer les différences et les ressemblances ainsi que les héritages et les ruptures, dans la représentation des corps dans l’art oriental et occidental. Du bassin mésopotamien à la Grèce, puis des mannequins articulés italiens du XVIIIème siècle aux poupées impériales japonaises du XIXème siècle, c’est un tour d’horizon des multiples façons de représenter le corps humain, et des significations qui lui sont rattachées qui nous a été proposé ce soir-là.

Les premières expériences du corps humain en ronde-bosse datent du paléolithique supérieur (-35 000 à – 10 000 environ). Les exemples les plus connus sont la Vénus de Willendorf, petite statuette en calcaire de onze centimètres de hauteur retrouvée en Autriche, dans la région de la Wachau ; et la Vénus de Lespugue, autre statuette en ivoire de mammouth de quinze centimètres de hauteur retrouvée en France, dans la région de Haute-Garonne. On remarque que c’est la symbolique qui prévaut et non le réalisme. Les formes sont exagérément amplifiées : seins énormes tombant jusqu’aux genoux et fessiers protubérants, avec parfois même une incision nettement marquée au niveau du pubis comme dans le cas de la Vénus de Willendorf. Ce sont bien là les parties les plus hautement symboliques de la féminité qui sont mises en avant, telle une ode à la vie et à la fécondité. Il en est de même pour cette statue d’Anatolie, Catal Huyuk (datée entre – 8 500 et – 5 500) considérée comme une représentation de la déesse-mère, assise nue sur son trône, des têtes de morts jonchant à ses pieds. Elle est ainsi non seulement la maitresse de la vie, mais aussi celle de la mort. Enfin, une dernière statuette retrouvée dans l’hypogée de Hal Saflieni (Malte) nous montre une Vénus, cette fois-ci vêtue – mais dont on perçoit toujours les larges formes – et qui semble endormie, comme une représentation de la Nature au repos lors de la saison hivernale nous suggère M. Pasquali. Toutes ces œuvres ont une vocation cultuelle et portent hommage à la vie, ou à son pendant, la mort et le sommeil. Il en est autrement pour les statues sumériennes…

            Les statues retrouvées dans le bassin mésopotamien et appartenant à la civilisation sumérienne (- 5000 à – 1750 environ) ont fait preuve d’autant de symbolisme mais de manière différente à bien des égards. Allure hiératique, barbe ronde postiche, pieds très schématisés, ce n’est toujours pas le naturalisme qui importe mais la représentation des insignes royales, de la dignité du souverain. Dans d’autres cas, ce sont les mains croisées sur la poitrine qui servent à la représentation du don d’offrande : ce sont des statues d’orants (cf. armée des douze statues du temple d’Abu à Tell Asmar, aujourd’hui conservées au Metropolitan Museum de New York). En revanche, à la différence de la statuaire de l’époque paléolithique, on remarque immédiatement l’attention portée aux yeux. Grands, et même exagérément grands, ils sont accentués par le trait autour de l’arcade sourcilière. Le regard prend de l’importance, surtout que ceux-ci sont généralement réalisés grâce à l’incrustation de pierres précieuses comme le lapis-lazuli. Mais le corps aussi prend de l’importance, notamment avec la séparation de la partie supérieure du corps avec sa partie inférieure au niveau de la jupe, donnant un certain dynamisme à la composition (cf. Statue de Ebih II, retrouvé au temple d’Ishtar et aujourd’hui conservée au musée du Louvre). Les représentations de femmes évoluent de celles connues jusqu’alors, emmaillotées dans leurs lourds vêtements, leur corps est désormais caché (statue de femme assise retrouvée au temple d’Ishtarat et aujourd’hui conservée au Damascus National Museum). A l’inverse, la découverte de la Dame de Warka, une tête de femme d’une vingtaine de centimètres de hauteur réalisée dans du calcaire, du marbre et avec des incrustations de lapis-lazuli semble préfigurer les statues chryséléphantines que nous connaissons mieux dans le monde méditerranéen à travers la civilisation grecque…

            En effet, l’utilisation de plusieurs matériaux tels que l’ivoire, le calcaire, le marbre, mais aussi le bois ou bien les pierres précieuses est une pratique qui se retrouve dans la statuaire grecque. La plus connue étant la statue d’Athéna Parthénios. Or, déjà cette pratique se retrouve dans la mythologie grecque : le premier Homme n’est-il pas fait de terre et d’eau, c’est-à-dire de plusieurs matériaux ? De même, le géant Tholos n’a-t-il pas le corps entièrement recouvert de métal ? Dans certains cas, le matériau choisi peut servir à changer la couleur de la peau (cf. statue d’Artémis d’Ephèse, connue grâce à des copies romaines et dont la peau est parfois noire, et parfois blanche – sa spécificité tenant toutefois davantage à la multitude de gibecières qui pendent de sa poitrine et qui font penser à des seins), rappelant là-encore la pratique sumérienne de représenter les statues parfois à la peau claire, et parfois à la peau sombre, selon qu’elles soient synonymes de vie ou de mort. Par ailleurs, les Grecs pensaient que leurs dieux pouvaient venir habiter le corps de ces statues lors des manifestations cultuelles. A ce titre, elles étaient donc lavées et habillées, comme lors de la fête des Panathénées à Athènes par exemple.

            Si l’on se rapproche des périodes plus récentes comme le XVIIIe siècle, on retrouve cette utilisation multiple des matériaux et de l’habillement. C’est le cas pour les santons de la crèche, notamment en Provence, dont les membres visibles (visage et mains) étaient faits de cire, tandis que le reste du corps était fait de bois, puis recouvert d’habits. Cette pratique a même trouvé son apogée en Italie avec les mannequins articulés de Gênes (cf. Pasquale Navore, Le gendarme de Gênes). Certains ayant même une individualité d’autant plus marquée grâce à des expressions faciales grimacées et mélancoliques. Le corps devient ainsi l’acteur d’une représentation théâtralisée. Grâce à tous ces artifices (articulations, peau de cire, vêtements), la vie semble l’habiter mais la croyance qu’une divinité peut venir l’habiter a disparue.

            Enfin, au pays du soleil Levant, une tradition autour de la représentation du corps a également existé à travers la réalisation de poupées. Petites poupées recouvertes de tissus, elles ont connu leur apogée à l’époque Meji (1868 – 1912) et représentaient la famille impériale ou les membres de la cour. Dotées d’un pouvoir protecteur, elles étaient offertes aux enfants. Puis, les représentations ont évolué vers la figure de la poupée « bijin" qui devait servir de modèle à suivre pour les jeunes filles, ou bien de poupées masculines illustrant les vertus guerrières dont les jeunes garçons devaient s’inspirer (ex : Musha Ningyo de Ojin Tenno). Ces poupées adoptent alors une dynamique toute particulière : elles sont en suspension, le pied en l’air, elles sont comme figées dans un mouvement de combat.

            C’est ainsi que les représentations du corps entre Orient et Occident s’achève. Jacopo Pasquali nous a ainsi montré plusieurs exemples illustrant les diversités dans la manière de représenter mais aussi de concevoir le corps : réalisé avec symbolisme ou naturalisme, dans une posture hiératique ou dynamique, avec un ou plusieurs matériaux, rempli d’une charge sacrée ou simulacre d’un être réel, le corps est à l’image de la culture qui l’a produit. Bien entendu, il ne s’agit là que de quelques pistes de réflexions, le sujet étant bien plus vaste à étudier que ne le permettait cette courte séance, néanmoins très enrichissante pour le corps, et l’esprit !

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Présentation du cours de Jacopo Pasquali : « Quelques réflexions sur la représentation du corps humain entre orient et occident »(novembre 2017) https://upavignon.org/2017/11/25/presentation-cours-de-jacopo-pasquali/ Sat, 25 Nov 2017 08:14:34 +0000 http://upavignon.org/?p=1544 Lire la suite Lire la suite

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 «Quelques réflexions sur la représentation du corps humain entre orient et occident»

 

Jacopo PASQUALI

 

Après les premières expériences dans la représentation de la figure humaine, surtout féminine, pendant la préhistoire à travers les sculptures stéatopyges dont la « Dame endormie" trouvée dans l’Hypogée de Hal Saflieni à Malte est l’un des exemplaires les plus célèbres, les plus anciennes images du corps que l’on connaît sont celles de la statuaire sumérienne du début du IIIe millénaire a. C. A cette époque on a, en Mésopotamie, deux typologies de sculptures : les statues en pierre et les statues composées en plusieurs matériaux. Ces dernières auront un succès particulier chez les Sémites occidentaux, notamment en Syrie, comme maintenant on est bien renseignés grâce aux trouvailles archéologiques et épigraphiques de la ville d’Ebla. Les textes nous parlent de statues de culte avec le visage, les mains et les pieds couverts de feuilles d’or ou d’argent et le reste du corps en bois couvert de tissus bariolés et brodés. De Syrie, cette manière de représenter le corps humain arrivera en Grèce pendant la période du haut archaïsme : xoana, sphyrelata et images chryséléphantines en sont le témoignage. Les mythes d’Héphaïstos et de ses automates, de Pandora et du géant de bronze Talos nous parlent de la naissance de ces techniques. La tradition de la représentation du corps à travers des images ou mannequins en plusieurs matériaux a bien survécu dans l’Europe chrétienne où à partir du Moyen Age ces objets sont employés surtout durant les processions et les événements cultuels. Il ne faut pas oublier non plus qu’il s’agit de la même technique utilisée en Italie et en France dans la confection des santons et des personnages de la crèche. Au-delà de la Méditerranée, au Japon aussi, à partir de la période d’Edo (XVIIIe siècle) les images du corps humains en plusieurs matériaux sont à la base de la confection des poupées rituelles pour la fête des jeunes filles le 6 mars (hina matsuri) et des garçons (tango no sekku) le 8 mai.

 

Bibliographie

 

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